Les gaietés élyséennes

Publié le par Yves-André Samère

Finalement (les cons disent « au final »), on rigole bien à l’Élysée. Vous avez vu le Petit Journal hier soir ? À l’occasion de la visite officielle du président tunisien, que François Hollande a reçu à dîner, ce fut un festival. Bredouillements du Tunisien qui avait égaré les feuilles de son discours (« Dans ces cas-là, il faut improviser », lui a soufflé Hollande qui se marrait comme une baleine, et qui se mordait les joues pour ne pas éclater de rire), vanne discrète du président en direction de son Premier ministre, et défilé des invités qui arrivaient. Cette dernière séquence, si vous la téléchargez avec Captvty, commence au temps 10:45 et s’achève à 12:37 si vous arrêtez avec l’arrivée d’Isabelle Guigou, laquelle pauvrette, en talons trop hauts, claudiquait sur le gravier comme si elle marchait dans la neige, et a fini par perdre une de ses chaussures ; ou à 14:09 si vous en voulez un peu plus.

Au fond, avec ce gouvernement, on rit presque davantage que lorsque Sarkozy enchantait nos soirées. Ils finissent par être plus désopilant que De Gaulle soi-même, qui atteignait pourtant des sommets ! C’est dire.

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