Un malheureux à plaindre
Ce pauvre Augustin Trapenard me ferait presque pitié, car il collectionne les rebuffades. Lorsqu’il me drague – par quatre messages, pas moins – afin d’entamer avec moi un « dialogue », puisque je l’ai un peu traîné dans la boue, je ne prends pas la peine de lui répondre. Lorsqu’on le garde au Grand Journal mais sans lui donner à faire quoi que ce soit d’intéressant alors qu’il se prend pour un critique littéraire, il ne voit pas qu’on lui applique le même traitement qu’à son prédécesseur Ollivier Pourriol, que Denisot détestait. Et ce matin, sur France Inter, alors que, pour faire son malin, il demande à la mère de Térébentine Duflot d’imiter sa caricature des Guignols, elle refuse et l’envoie sur les roses.
Je m’inquiète. Il ne va pas nous faire une dépression nerveuse, au moins ? Ce serait dommage pour la corporation des comiques (involontaires).