Je rate un jeu de mot
Sans aucun complexe, j’adore les jeux de mots débiles : René Goscinny avait le même goût, donc je suis à l’aise avec ça.
Or je suis obligé de renoncer à un jeu de mot assez tentant, et de ne pas prendre comme titre Pour qui sonne le Ghlam ?, parce que, contrairement à la totalité des journaleux de l’audio-visuel, qui sont d’une ignorance à faire peur, je sais très bien que le patronyme de ce terroriste, Sid Ahmed Ghlam, qui disposait dans sa cellule d’un téléphone mobile, ne se prononce pas « glam », mais « rlam ». Du coup, ça ne fonctionne pas.
C’est un vrai sacrifice, croyez-moi !