Deux points communs avec Desproges

Publié le par Yves-André Samère

Je ne me reconnais que deux points communs avec Pierre Desproges. D’une part, mon compositeur préféré, depuis toujours, est Chopin. Et, d’autre part, je ne respecte que la langue française. Tout le reste m’importe beaucoup moins.

Évidemment, ces deux critères m’éloignent beaucoup de mes contemporains, pour la plupart. Mais, par chance, je m’en fiche royalement. Je ne peux pas m’imaginer en train de suivre à la télévision un match de football, ou écouter ce qui passe aujourd’hui pour de la musique : rap, reggae, musique de boîte de nuit, et toutes les chansons de Gainsbourg pour lesquelles il a, sans aucun scrupule, plagié la musique des vrais compositeurs. Néanmoins, quelques auteurs de chansons, comme Brassens, Brel, Juliette, Pierre Perret, Anne Silvestre, Henri Salvador et une poignée d’autres, sont au premier plan, mais c’est surtout leurs textes qui comptent.

(Pour ne rien arranger, on lui doit cet héritage empoisonné : il a mis à la mode Jane Birkin et sa fille Charlotte, qui se croient de vraies chanteuses, alors que les entendre provoque une véritable souffrance chez ceux qui ne sont pas sourds)

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

C
me manque ; Nougaro , Mouloudji , Vasiliu , Ferré '( pour sa musique= ) Moustaki pour le métèque ) Aznavour (pour" ma jeunesse" et la mienne...)
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Y
Je ne valide qu’en partie. Car je déteste ce cinglé qu’était Léo Ferré, et n’apprécie guère Aznavour, qui vit comme les belles de nuit : ses ressources financières sont fondées sur l’amour. Brel, lui au moins, était franchement misogyne, et tout le monde le sait. En somme, il était moins hypocrite.
M
Bon, au moins, nous avons Brel en commun...
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Y
Mets-toi à l’étude de Brassens, et ce sera parfait.