Occupons-nous d’Amélie !
Aujourd’hui 22 août paraissait Les prénoms épicènes, le dernier roman d’Amélie Nothomb. Bien entendu, je viens de le télécharger, et je vais dès maintenant en commencer la lecture.
Je sais bien que la chère Amélie n’est guère appréciée des critiques littéraires, qui lui reprochent des tas de choses, dont le fait qu’elle se fiche bien de la critique et n’a de bonnes relations qu’avec ses lecteurs. Malgré cela, son style est irréprochable et facile à lire. Comme elle écrit à toute vitesse (et sans jamais commettre la moindre faute de français, soit dit en passant), elle rédige une bonne demi-douzaine de livres par an, et n’en publie qu’un, décidée qu’elle est à ne jamais rendre publics ceux qu’elle juge moins bons. Ce n’est pas Bernard-Henri Lévy qui ferait ça ! Autre vertu, ses livres sont courts, on n’a donc aucun mal à les lire d’un trait, ce que j’ai fait assez fréquemment, et sans peiner dans ma lecture. En somme, lire Amélie Nothomb ne s’apparente pas à une punition, et d’autant moins qu’elle possède un solide sens de l’humour, qualité que je prise très fort, et une vaste culture.
Si vous m’envoyez en commentaire votre adresse électronique (que je ne publierai pas !), je vous enverrai ce livre.
Ah oui, j’oubliais : un prénom épicène est un prénom unisexe, c’est-à-dire pouvant désigner aussi bien un garçon qu’une fille.