Le premier (?) exploit de Castaner

Publié le par Yves-André Samère

Castaner n’a pas débuté cette année dans l’ignominie. Son premier exploit date de 1995, et vous pouvez lire le détail ICI. Ayant tenté de se disculper, quoique à retardement, il a prétendu avoir fait « une erreur », et que cette erreur avait duré... vingt minutes. Marrez-vous, et réfléchissez à ceci : avec cette affaire, Castaner avait commis, non pas une erreur, mais un délit. C’est inconstestable.

Normalement, la révélation de cette « erreur » devrait faire le régal de tous ceux qui, dans le pays, le haïssent, non sans raison. Et peut-être, s’il est encore conscient, inciter son patron à, enfin, décider de le flanquer à la porte.

Ajoutons que, si certaines professions exigent de pouvoir présenter un casier judiciaire vierge, Castaner semble être passé entre les gouttes. Mais peut-être cette condition n’est-elle pas exigée d’un membre du parti au pouvoir. Après tout, sous De Gaulle, l’Assemblée avait bien voté une loi d’amnistie pour éviter la prison à Sanguinetti (qui avait osé se prénommer Alexandre, prénom que j’affectionne), secrétaire général de l’UNR, le parti gaulliste de l’époque. Loi que De Gaulle, alors président de la République, avait signée sans sourciller. Lire cet article que j’avais rédigé il y a bientôt neuf ans.

Bien, je vous laisse, faut que j’aille vomir. Ça urge.

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