Les tromperies de Géricault
J’ai un peu honte d’avoir choisi, pour mon titre, un jeu de mots aussi minable. Car je sais bien que TOUS mes lecteurs sont des puits de culture, et qu’aucun ne confondrait Géricault avec Jéricho ! Mais pourquoi ce dérapage ?
C’est à cause d’Azzeddine Ahmed Chaouch, chroniqueur à « Quotidien » qui, hier, montrant le fameux tableau présent au Louvre, Le radeau de la Méduse, a fait la boulette de le qualifier comme dû à Eugène Delacroix. Évidemment, chacun en France savait que cette peinture avait été exécutée par Théodore Géricault, et j’avais noté l’erreur, sans toutefois chercher la petite bête, car on a vu pire dans cette émission, surtout dans les fautes de français de Barthès, qui sont quotidiennes.
Bref, les trompettes de Jéricho m’ont inspiré « Les tromperies de Géricault », et ce n’était pas bien malin. Mais vous savez ce que c’est : certains individus, ces foutriquets, vendraient leur petite sœur, rien que pour le bénéfice d’avoir fait un jeu de mots auquel les autres n’ont pas pensé.
Je me couvre la tête de cendres, et je comprendrais que vous cessiez de me lire !