Noir, c’est noir ? Ou pas ?
Quelque chose m’échappe, dans le jargon du moment. On nous casse les pieds à longueur de journée avec le Black Friday, expression qui se traduit par « Vendredi noir », et qui est censée qualifier un évènement heureux – pour les commerçants exclusivement, pas pour les clients, puisqu’elle sert principalement à masquer le fait que, le reste de l’année, ils vendent leur camelote très au-dessus de leur prix réel. Et comme black signifie « noir », on pourrait penser que c’est une journée de deuil !
Or, le 28 octobre 1929, qui a été la troisième journée de l’effondrement de la Bourse de Wall Street, à New York (effondrement relatif, puisque, ce jour-là, les actions baissèrent de... seulement 13% !), cette journée est restée dans les mémoires sous le surnom de Black Monday. Ce qui, cette fois, revêtait un caractère sinistre, puisque cette baisse a entraîné un certain nombre de suicides chez les investisseurs, qui s’étaient cru ruinés – on a vu bien pis ultérieurement.
Par conséquent, je m’interroge : black, c’est mauvais, ou bénéfique ? Ces malheureuses musulmanes, qui se croient tenues, par leurs salauds de maris et par la dévotion à leur faux dieu, de se cacher derrière un tchador noir, elles le font en témoignage de leur joie ?