Un vaste gisement d’âneries

Publié le par Yves-André Samère

Dans un roman qu’en ce moment je lis, j’ai trouvé cette phrase : « Les écrivains voient des choses que les autres ne voient pas ».

C’est bien possible, et cela vérifie que je ne suis pas un écrivain. Pour dire la vérité, si je ne vois pas grand-chose, j’entends plutôt ce que les autres n’entendent pas. D’où, probablement, mon goût, depuis mon plus jeune âge, pour la radio, et le fait qu’une bêtise entendue à la radio m’échappe rarement.

Il est vrai que je n’ai pas grand mérite, considérant la masse d’imbécillités que les gens de radio, dans leur grande générosité, nous servent comme sur un plateau. Je ne sais combien de fois j’ai relevé leurs bourdes, et chaque jour en fournit une cargaison.

C’est probablement en rapport avec mon goût pour la vraie musique, et ma profonde aversion pour le rap, ceux qui en vivent, et ceux qui s’en délectent – ce que je ne comprendrai jamais.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

C
Belle journée ce jour pour vous et moi , sur notre radio préférée ., que de la musique et , bien qu'on ne soit pas à l'abri, le rap est , encore , plutôt rare sur Inter . Qui doit-on remercier pour cette matinée musicale , la CGT ?
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Y
Trop de chansons, et par des interprètes qui, selon moi, seront oubliés avant un an. Je préfère le silence.