Se marier à sept ans, mais bien sûr !

Publié le par Yves-André Samère

En arabe, le djabr désigne le mariage forcé des fillettes. Rien à voir avec Polanski, lequel n’a jamais songé à épouser une fille de treize ans avant de la droguer pour la violer plus commodément.

Cette coutume est due à Mohammed, auto-proclamé prophète, et qui, ayant vu une petite fille jouer sur une balançoire alors qu’elle avait six ans, décida de la garder pour ses beaux jours (ses beaux jours à lui, bien sûr), mais, raisonnable comme tous les prophètes, il attendit qu’elle ait neuf ans avant de la réclamer à sa mère, et d’ordonner qu’on la porte dans son harem, où il la contraignit, comme on dit, à « la vie conjugale ». Elle en avait de la chance, cette Aïcha ! Et comme le prophète est considéré comme « le beau modèle » dont les actes DOIVENT être imités – je n’invente rien –, la religion qu’il avait inventée décréta légitime de placer de force une fillette de neuf ans dans le lit d’un homme de 54 ans.

Les légistes de cette religion, dont l’interprétation est ratifiée par le consensus, accordent aujourd’hui une année de grâce aux petites filles, qui ne peuvent être mariés qu’à sept ans, mais, en compensation, leur mari n’a pas à attendre leurs neuf ans, et peuvent, comme leur divin prophète, la posséder comme il le fit, et sont autorisés à le faire dès après la célébration du mariage, et la violer si cette pimbêche n’est pas d’accord.

Selon une étude réalisée par les Nations Unies en 2006, 14 % des filles yéménites se sont mariées avant l’âge de quinze ans, et certaines, à huit ans. Dans la bande de Gaza, le 1er mai 2012, quatre cent cinquante hommes âgés de 20 à 29 ans se sont mariés, le même jour, avec des fillettes de sept à dix ans. Le Hamas, pour manifester sa satisfaction, a fait cadeau de 500 dollars à chaque heureux époux.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

D
Je préfère ne pas m'exprimer sur les rapports sexuels avec les petites filles, je serais par trop grossière. Par contre, je croyais quand même, ce qui est la moindre des choses, qu'il fallait attendre que la jeune fille soit nubile, c'est-à-dire capable de donner un héritier à l'époux, et ne pas être uniquement un jouet sexuel. Car ne pas respecter ce paramètre, est reconnaître que l'acte sexuel ne peut être que pour le plaisir, ce qui n'est généralement pas le but des religieux, la recherche du plaisir entraînant le désordre.
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D
C'est criminel, oui.
Y
C’était déjà inadmissible au septième siècle. Mais que ces coutumes existent encore, c’est révoltant.
D
Ils ne pensent justement qu'à eux et à leur emprise sur la population. La recherche unique du plaisir les défrise, car c'est facteur de désordre, même maintenant. Mais là, en fait, violer les petites filles n'avait pour eux aucune importance, car la partie femelle de la population n'avait pas de poids économique ou social. Ce n'étaient que des ventres.<br /> Hélas, certains hommes le pensent encore.
Y
“Le but des religieux”... Rions ! Ces gens-là ne pensent qu’à eux.