Stéphane et Jérémie, par Pierre et Gilles

Publié le par Yves-André Samère

La semaine dernière, l’émission « Quotidien » a donné sa dernière séance de l’année, en invitant deux artistes assez populaires, Pierre (Commoy) et Gilles (Blanchard), qui faisaient une exposition de leurs œuvres à la Philharmonie de Paris. Ils travaillent et vivent ensemble depuis des lustres, et leurs tableaux – des photographies retouchées à la peinture – illustrent deux thèmes récurrents : la religion chrétienne et le nu masculin. Il est bien connu que les vedettes se battent pour figurer dans leurs tableaux.

L’émission a montré quelques-uns de leurs tableaux, dont certains sont assez beaux, mais elle a soigneusement évité toutes les illustrations de ceux qui attirent le plus de monde : les photos de nu intégral. Je vais donc contourner cette ruse, en affichant ICI la moins bonne, un portrait en double de deux acteurs, Jérémie Elkaïm et Stéphane Rideau, qui jouaient les deux personnages principaux d’un film de Sébastien Lifshitz, absolument raté, Presque rien, sorti en 2000. La scène très courte qui attirait le plus de monde était une scène de sodomie sur une plage, que je n’affiche pas bien que je sache où la trouver sur Internet, que les deux acteurs, qui d’ailleurs ne sont absolument pas homosexuels, interprétaient sur une plage déserte.

Je signale ce détail, parce que cette manière de pimenter les films est de plus en plus utilisée, et que cela commence à devenir un peu agaçant et démagogique. Bien entendu, cela ne changera rien à la mode. Voir le dernier film avec Karin Viard, actrice bien convenable, mais qui a TROIS scènes de nu intégral complètement inutiles, donc racoleuses, dans Chanson douce, sorti le 27 novembre.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :