Le fils (imaginaire) de Samia

Publié le par Yves-André Samère

Comme Ségolène Royal s’est fait virer de son poste d’ambassadrice des pôles (appellation ridicule), elle tente de se raccrocher aux branches en voyageant, et nous avons eu tout un reportage sur son déplacement aujourd’hui à Marseille. Là, elle a été accueillie par la sénatrice du coin, Samia Ghali. Bien.

Je me fiche de Ségolène Royal, bien que, dans quatre jours, j’ai rendez-vous avec sa fille Clémence (n’allez rien imaginer, c’est un de mes médecins à l’hôpital Cochin). Non, ce qui m’intéresse dans ce déplacement, c’est le fait que tous les journalistes qui ont commenté ce voyage ont estropié le nom de la sénatrice en question : tous, encore une fois, l’ont prononcé « Galli ». Évidemment, ces brêles n’ont aucune notion d’arabe, ils ignorent donc que le groupement de consonnes GH est le code adopté pour le son R. Bref, elle s’appelle « Rallye », et non pas « Galli ».

Heureusement, elle n’a pas un fils prénommé Mathias ! Enfin, espérons-le.

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