Une nouvelle persécution par le gouvernement

Publié le par Yves-André Samère

À partir de demain, et afin de remplacer l’ausweiss sur papier tenant lieu de laisser-passer aux citoyens qui oseront s’aventurer dans les rues, nous aurons une nouvelle innovation née dans le cerveau fertile de nos dirigeants : il faudra installer un bidule incompréhensible sur nos téléphones mobiles ! Encore un pas de géant, comme aurait dit Neal Armstrong, en direction des mœurs asiatiques ! Depuis quand est-il obligatoire de posséder un smartphone forcément fabriqué en Chine ? 

J’ai lu le mode d’emploi sur Internet, et n’y ai pas compris grand-chose, car, comme toujours, il est écrit en plusieurs épisodes de ce jargon, que comprennent seulement Macron et ses sbires. Ils ont pensé que nous comprendrions mieux leurs sinistres fantaisies ? Bref, une occasion de plus de causer des ennuis à une population qui n’en demandait pas tant et qui est au bord de la dépression nerveuse. Ils veulent nous pousser au suicide collectif, c’est ça ?

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

R
Le boubou à hublots a enfin disparu du paysage médiatique. Cependant, son imbécillité servile nous manque. Serait-elle victime de discrimination négative ?
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Y
Je suis perplexe quant à la personnalité de ce boubou à hublots (et intermittent, et imbécile, et servile).
D
La dérogation papier existe toujours, pour les réfractaires comme moi, qui n'ai même pas un smartphone. je ne vois pas la nécessité d'en avoir, la loi ne m'y obligeant pas de toute façon. Quant au langage incompréhensible, ils ne s'adressent qu'à une "élite", voyons, que tout ce qui n'est que papier insupporte.
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Y
C’est ce que je me tue à répéter, que ce gouvernement viole les lois, parce que son chef se croit au-dessus de l’humanité. En somme, ce qui n’est pas obligatoire le devient d’office, quand ça peut arranger les macroniens. On a bien entendu la porte-parole dire qu’elle n’hésiterait pas à mentir si cela pouvait être utile à son chef bien-aimé, ou les ministres prétendre que les masques ne servaient à rien, avant de retourner leur veste plus récemment.