Bla-bla-bla
L’un des princes qui nous gouvernent si bien avait eu l’excellente idée d’avancer, dans le domaine de la santé, un argument totalement faux, qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, puisque le bavard s’était vu remettre à sa place par un contradicteur mieux renseigné.
Notre prince avait donc cru bon de riposter en faisant appel... à Voltaire, sur le mode suivant : avant de savoir, on ne sait pas. Sous-entendu, si j’ai dit une bêtise, c’est uniquement pour avoir parlé trop tôt. Fort bien.
Mais a-t-on pensé à lui riposter ainsi : quand on ne sait pas, on la ferme ?
Combien sont-ils, dans ce gouvernement, à parler de ce qu’ils ne connaissent pas ?