Niez, avant de choir comme les autres
Qui donc a l’air d’un pâle crétin, après avoir qualifié de « grippette » l’épidémie galopante qui a aussi fichu la pagaille parmi les Français ? Et qui, à présent, s’en trouve lui-même atteint ?
Le comble est qu’il a saisi cette occasion pour aller parader devant l’hôpital qui l’héberge, et dont on souhaiterait qu’il ne sorte plus jamais.
Et le pire est que ses partisans l’acclament, car ils ont tout oublié de ses rodomontades. Aussi crétins que leur idole. Ils l’adorent, mais parce qu’ils lui ressemblent !