Bal à Joe

Publié le par Yves-André Samère

Dès sa première apparition à la télévision, j’ai détesté cet ignoble plouc dont toujours ici j’ai voulu éviter d’écrire le nom, et que, en mon for intérieur, j’ai surnommé Donald le Connard. Comme la majorité des gens qui réfléchissent un tantinet, j’ai haï son racisme, sa haine des Mexicains, ses fréquentations avec la mafia, son homophobie retardataire, et son attitude à l’égard des femmes.

En comparaison, Joe Biden fait figure de saint homme. Pour ma part, je rends hommage – non pas à son catholicisme dont je me fiche bien – à sa modération, à son bon sens, à sa cordialité, à son absence de mépris à l’égard des femmes et des homosexuels, qui le rapprochent de Barack Obama, lequel, même s’il n’a pu se révéler parfait (il a complètement raté ses résolutions sur la fermeture du bagne installé à Cuba, accepté ce ridicule Prix Nobel de la Paix décerné avant qu’il ait pris la moindre décision, et toléré qu’on le qualifie de « Noir » alors qu’il est métis), rendraient les États-Unis presque sympathiques.

La suite ? On verra bien, mais on peut être relativement optimiste.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

D
De toute façon, ce ne sera pas pire.
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Y
Ce serait impossible, en effet !
C
Catholique c'est un moindre mal pour les américains ; de toute façon un athée n'aurait aucune chance. ... Même un George Clooney , qui se dit etre athée ne pourrait concourir à aucun poste .
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Y
C’est assez vrai, mais les catholiques ne sont pas majoritaires, loin de là. Se souvenir des Kennedy, qui étaient catholiques, mais avaient beaucoup d’ennemis.