Assez de terrasses !
Jusqu’à une date toute récente, je détestais le mot ensemble, qui me semblait relever de la propagande gouvernementale, impliquant la collectivité dans un ensemble de naïfs obéissant à Macron et à ses sbires.
Mais à présent, je déteste plus encore le mot terrasse. Pour la raison évidente qu’on nous le jette à la figure vingt fois par heure, ce qui est toujours plus que suspect.
Et puis, quelqu’un a-t-il songé que cette insistance ne faisait, avant tout, que servir de publicité gratuite à la corporation des fabricants et des vendeurs de tables et de chaises à bon marché, qui sont en passe de faire fortune, tant les gogos se pressent à leur fournir des clients.
Cela va durer jusqu’à l’automne, au retour du sale temps où le Soleil cessera de briller. Vive le vent, vive le vent d’hiver !
(Naturellement, vous avez compris que je plaisante, puisque vous ne faites pas partie de cette cohorte de gogos)