Assez de terrasses !

Publié le par Yves-André Samère

Jusqu’à une date toute récente, je détestais le mot ensemble, qui me semblait relever de la propagande gouvernementale, impliquant la collectivité dans un ensemble de naïfs obéissant à Macron et à ses sbires.

Mais à présent, je déteste plus encore le mot terrasse. Pour la raison évidente qu’on nous le jette à la figure vingt fois par heure, ce qui est toujours plus que suspect.

Et puis, quelqu’un a-t-il songé que cette insistance ne faisait, avant tout, que servir de publicité gratuite à la corporation des fabricants et des vendeurs de tables et de chaises à bon marché, qui sont en passe de faire fortune, tant les gogos se pressent à leur fournir des clients.

Cela va durer jusqu’à l’automne, au retour du sale temps où le Soleil cessera de briller. Vive le vent, vive le vent d’hiver !

(Naturellement, vous avez compris que je plaisante, puisque vous ne faites pas partie de cette cohorte de gogos)

 

 

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

K
ben non :-( Dans mon village, la seule table et les bancs , situés à coté de la seule boutique, ont été retirés , car interdits par la loi anti-picolos dans la rue. Il faut dire que c'était le rendez-vous de tous les ivrognes du villages. Ils sont mal compris , en fait, ce sont des travailleurs qui "bossent" très dur pour réduire l'excédant de bière du pays .
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Y
C’est assez différent à Paris, me semble-t-il. Les ivrognes y sont mal vus.