Les deux fils que je n’aurai pas
Je n’ai pas d’enfants. Mais si j’en avais eu, et si possible deux fils, j’aurais prénommé l’aîné Alexandre, en référence à ma mère et à mon pianiste préféré. Et le cadet, Adrien (sans H, je ne comprends pas ce que fait ici cette majuscule), qui aurait ainsi hérité, je l’espère, des qualités exceptionnelles de l’empereur romain.
À ce dernier, on doit en outre Tivoli – non, je ne parle pas du parc d’attraction de Copenhague, où néanmoins j’ai passé bien des heures, y compris dans la salle de concert, laquelle, trois fois par semaine, offrait gratuitement une heure de musique classique. Un enchantement.