Baratin, pollution et fin du monde
En octobre 2007, le dernier rapport du GIEC affirmait exactement le contraire de ce qu’assénait Al Gore dans « son » film An inconvenient truth (qui n’était pas de lui, mais de Davis Guggenheim). En effet, Al Gore prétendait que, dans le siècle à venir, l’augmentation de la température moyenne sur Terre, causée par le taux excessif de gaz carbonique, et annoncée de 5 degrés, entraînerait une hausse du niveau des mers « de six mètres ». Sic.
Même les plus fanatiques prenait leurs distances avec le lien entre le gaz carbonique et l’augmentation de la température, le fameux « effet de serre » : le gaz carbonique ne serait plus le principal accusé (responsabilités respectives : vapeur d’eau, 55 % ; gaz carbonique, 39 % ; ozone, 2 % ; méthane, 2 % ; oxyde nitreux, 2 %), et faisait état d’une élévation possible du niveau des températures comprise entre 1,5 et 6°C. Or, aujourd’hui, en 2021, on se contenterait d’une élévation de 1,5 degrés, ce qui semble signifier que tout va mieux qu’en 2007 !
Et Gore lui-même ? Qui était le président des États-Unis à l’époque où Gore faisait sa propre publicité ? Qui avait refusé de signer l’accord international dit « protocole de Kyôtô » ? George Bush ? Pas du tout, c’était Bill Clinton, dont le vice-président s’appelait Al Gore ! Rions...
Gore était déjà un imposteur.