Immunité, qu’y disait...
Elle est étrange, cette notion d’immunité présidentielle qui a permis à Sarkozy, forcé de venir témoigner devant le tribunal, et avant de quitter la salle dudit tribunal au bout de trois quarts d’heure seulement, de faire la leçon au juge et de lui balancer que c’était LUI, le juge, qui violait la Constitution ! Justification : un ancien président de la République est une personne sacrée, comme la reine d’Angleterre. Ben voyons.
Ce foutriquet, qui n’ignorait rien des agissements de ses affidés et les poussait à taper dans la caisse afin de financer sa propre campagne électorale, s’est conduit en chef de bande. En un mot, Sarkozy est un voleur, et sa place est derrière des barreaux.