La nuit qui ne finit pas
Contrairement à ce qu’on croit, Le meurtre de Roger Ackroyd n’est pas le seul roman d’Agatha Christie dans lequel tout est raconté par le meurtrier lui-même – évidemment confondu à la dernière page. Pour avoir découvert à la télévision un autre exemple bâti sur ce modèle, je peux dire qu’il en existe un de plus : La nuit qui ne finit pas (en anglais, Endless night). Or ce roman est apparemment introuvable sur les sites de téléchargement !
Mais j’ai trouvé mieux, car ce roman était présent... dans ma propre bibliothèque, et j’avais oublié son existence. Voici quelques indications : publication à La librairie des Champs-Élysées (collection Le Masque) le 11 décembre 1969, sous le numéro 600 478, broché, 255 pages, traduit en français par Claire Durivaux.
Je l’avais lu, bien entendu, mais je vais le relire. Ni Hercule Poirot ni Miss Marple n’y apparaissent. En fait, il n’y a aucune enquête.