De profondis

Publié le par Yves-André Samère

Hier et avant-hier, pas pu dormir de la nuit. Pas davantage manger ou boire !

Je suis affreusement malade. Ai dû descendre au rez de chaussée demander du secours au magasin qui vend des cuisines, où on a bien voulu téléphoner pour moi. L’hôpital refuse de me porter secours. Et l’infirmière a prétendu que, faute d’un certificat médical, elle ne pouvait me faire aucune injection !

Aujourd’hui, j’ai bien pu joindre mon médecin traitant, qui viendra demain matin me faire une visite. On verra bien... Je suis au désespoir.

Adieu, chers amis !

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

M
Moi qui étais si contente de voir s'afficher les titres de vos envois...quelle déception en les lisant les .<br /> Rien de bien gai ce soir...cela devient un cauchemar pour réussi à se faire soigner...<br /> meilleures pensées pour vous .<br /> MIchèle
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Y
Oui, merci. La vie est devenue pour moi un cauchemar constant. Quel dommage que je doive le faire partager à autrui, je ferai mieux de ne plus écrire du tout !
E
Lectrice assidue de vos pamphlets, sachez que je suis sincèrement attristée.
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Y
Merci, cela me va droit au cœur !
C
Bon courage ,tenez bon , je suis désulé de tout ça .
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Y
Au moins, je ne suis pas trop seul ! Merci à mes amis.
C
courage cher Monsieur , sommes de tout cœur à vos côtés .
Y
Je ne tiendrai pas longtemps. Mon médecin doit venir me visiter ce matin.