Julien, nouveau pharmacien

Publié le par Yves-André Samère

J’ai appris aujourd’hui que les maudits tests PCR seront bientôt pris en charge au cabinet d’infirmiers de la rue Greneta, dans le troisième arrondissement, donc pas très loin de chez moi. Je détesterai toujours cette torture, mais, au moins, je n’aurai pas à faire des kilomètres pour aller me faire martyriser.

Et puis, cet après-midi, j’ai fait la connaissance de ce jeune pharmacien charmant, qui m’a raccompagné chez moi, pour m’éviter un déplacement. Il s’appelle Julien, et nous avons parlé de cinéma sur tout le long. Agréable.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

C
P.S. Et en plus vous vous êtes fait un copajn , la chance !
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Y
Je ne sais pas encore si ce sera un copain. Mais quelqu’un qu’on estime, c’est certain.
C
Ouf , j'ai crains que vous fussiez mort ! Je n'ais plus personne avec qui échanger : tous mes amis sont morts !
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Y
Seulement à moitié mort, pour le moment. Je vais très mal, aujourd’hui...
D
Mes pharmaciennes sont adorables aussi, je les connais depuis des années et dans certaines circonstances elles ont été vraiment une aide précieuse.
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Y
Julien s’est révélé un garçon très bien. En outre, il aime le cinéma autant que moi !