Intelligence artificielle ?
Je ne crois pas, mais alors pas du tout, à l’intelligence artificielle. Il se mettait le doigt dans l’œil, Asimov, en dépit de son génie. Ces entités sans âme sont construites sur quelques préjugés, comme le quartier où vivent les inculpés, sur leur couleur de peau, sur l’activité de leurs parents, sur leur degré de connaissances, sur les études qu’ils ont faites ou n’ont pas faites, et autres données qui sont loin d’être équitables, pour la bonne raison qu’il n’existe pas deux êtres humains absolument semblables. En somme, ce qui est valable pour l’un peut être complètement erroné pour un autre ! Les véritables jumeaux, ça n’existe pas.
Vous remarquerez que les pays où ces gadgets existent et sont couramment utilisés ne sont jamais des pays où règne la démocratie : les États-Unis sont très loin d’être un pays démocratique (l’actualité nous le prouve chaque jour), la Chine, l’Inde et la Russie pas davantage, et, finalement, seuls quelques pays européens mériteraient cette distinction, à des degrés divers (la France n’est pas l’idéal, sur ce plan !).
Si l’idéal avait cours, l’intelligence artificielle serait bannie partout. Mais le monde étant ce qu’il est, elle n’en prend pas le chemin. En somme, globalement, les Terriens, parce qu’ils croient à des chimères, courent avec entrain à la catastrophe.
Mais prenons un exemple assez marrant : il a été « prouvé » (sic) que les pays où l’on consommait beaucoup de chocolat avaient davantage de lauréats du Prix Nobel. Et DONC, que consommer du chocolat augmentait l’intelligence de ses citoyens ! Mais penser ainsi révèle la croyance en la légende aujourd’hui abandonnée, celle ayant donné naissance au prétendu phénomène de la « Lune rousse » (voir mon article ICI).
Moralité : cessons de croire à des lubies.