Martinez, cette fripouille

Publié le par Yves-André Samère

Il y a deux ou trois ans (c’était avant l’épidémie), j’avais envoyé une lettre d’engueulade à Jean-Luc Martinez, patron du Louvre. Je lui disais mon indignation de ne pas pouvoir sortir du Louvre, alors qu’il était si facile d’y entrer. À cette époque, je pouvais encore fréquenter assidument le Louvre – je ne peux plus, handicapé des jambes comme je suis devenu.

Le problème était le suivant : aucun escalator partant du centre du musée ne fonctionnait plus ! Renseignement pris, le prétexte était donné par « des travaux » (imaginaires) à l’endroit où les escalators débouchaient à la surface. Il ne me restait plus qu’à entamer une longue marche dans la partie dédiée aux commerces, puis à grimper les soixante-trois marches ouvrant sur l’extérieur. Il fallait donc être un athlète olympique...

Bien entendu, Martinez n’avait jamais répondu à ma lettre, ni même accusé réception.

Aujourd’hui, il a été mis en garde à vue, et ses magouilles sont détaillées dans « Le Canard enchaîné » paru hier. Instruisez-vous, c’est en page 4 pour en avoir une idée. C’est compliqué, je sais, mais cela vaut la peine d’apprendre comment les huiles installées en place par Macron sont de véritables fripouilles.

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