Un navet ridicule.html

Publié le par Yves-André Samère

Le pire des réalisateurs états-uniens, à savoir Baz Luhrmann, vient d’avoir son éloge dans Quotidien fait par une sotte, Maïa Mazaurette, qui a étalé son éblouissement face à ce nullissime réalisateur, dont j’avais descendu en flammes son Romeo+Juliet et son Moulin-Rouge, qui dépassaient de très loin les bornes du ridicule.

Rappelons au passage que la version cinématographique du drame de Shakespeare contient quelques perles d’inculture, dont celle-ci, que j’avais pointée en faisant le compte-rendu du film : Roméo, après avoir tué Tybald, est expulsé de la ville où sa belle réside, et va s’installer ailleurs (dans le film, cela se passe aux États-Unis de nos jours). Or Juliette, qui a l’intention d’aller le voir, lui envoie une lettre par la Poste, la lettre est simplement déposée par le facteur à la porte de Roméo, qui est absent, et le vent fait que la lettre s’envole. Donc Roméo ne la lira pas, ce qui entraînera le double drame final, deux suicides.

On voit comme le scénario de ce chef-d’œuvre a été fignolé par Luhrmann !

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

K
La lettre perdue de " Manon des sources" est autrement mieux adaptée dans le film de 1986.
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Y
Ces deux lettres n’ont pas grand-chose de commun, je le crains !