Christophe Nobili, calomnié et viré
On s’y attendait depuis le largage, le 15 mars dernier, de Christophe Nobili, traîné dans la boue par ses deux patrons du« Canard enchaîné » – lesquels, par le plus grand des hasards, n’écrivent quasiment jamais dans le journal qu’ils dirigent.
Ces deux-là se nomment Michel Gaillard, qui est pédégé, et son acolyte, Nicolas Brimo, directeur général. Lesquels, non seulement ne se donnent jamais le mal d’écrire dans leur propre journal, mais aussi, sont les seuls à faire ce qu’ils veulent de l’argent que gagne le journal, lequel possède mille actions, étant le plus riche hebdomadaire de France (mais oui !).
Petite remarque en passant : au « Canard », non seulement les dessinateurs ne sont pas à l’abri d’être licenciés et sont les plus mal payés, mais aucun n’est jamais convié aux conférences de rédaction.
Finalement, l’article interminable que « Le Canard » a publié le 15 mars a été rédigé par deux comparses des deux têtes puissantes, Érik Emptaz et Jean-François Julliard, qui ont accepté la mission sans avoir rien décidé du licenciement de Nobili.
Naturellement, ces deux partisans de la direction du « Canard » ont pris parti pour leurs « patrons », lesquels ont prétendu qu’André Escaro et sa maîtresse Édith « travaillaient » à l’édition du petit journal qu’ils publient et qui reste ultra-cofidentiel, oubliant au passage qu’Escaro, qui n’a plus mis les pieds au « Canard » depuis plus de vingt ans, n’en possède pas moins un château – sans doute financé par les deux exilés...