Nos gouvernants ont du cœur !
Vous aimez bien le gouvernement français ? Vous admirez Macron et sa smala ? Alors, lisez ce qui suit, et serrez les poings avant de hurler de rage.
Daech, depuis 2014 et qui a fondé, en Irak et en Syrie, un prétendu « califat », a fait des émules jusque chez nous. Or ce nid de terroristes islamiques retient une foule d’enfants français que leur mère, devenue djihadiste, a embarqués avec elle. Tous vivent dans des camps infâmes, de véritables prisons, sans aucune liberté, sans éducation, sans nouvelles de leur famille française. Laquelle, souvent, ne sait même pas où ils se trouvent...
Or la règle du gouvernement français, jusqu’à l’année dernière, a été la suivante : si un de ces enfants prisonniers a perdu sa mère et reste orphelin, nous pouvons demander à le rapatrier. Mais s’il a encore sa mère, il DOIT rester avec elle. Dans le camp djihadiste où elle choisi de vivre.
Pourquoi ? Voici la réponse, faite au Sénat par le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti à Roger Karoutchi, sénateur, qui l’interrogeait sur cette anomalie, imposée alors par les règlements internationaux : « Si nous les rapatrions, nous courons le risque de les voir revenir en France commettre des atrocités ! ». Donc, laissons-les où ils sont.
On voit que Môssieur Dupond-Moretti est un homme de cœur, tout comme son patron.
Il paraît que la France, face à ce scandale, et déjà condamnée par divers tribunaux internationaux, a décidé de modifier sa politique, et commence à rapatrier quelques-uns de ces malheureux gosses. Hosanna ! Tout va très bien, Madame la marquise.