Rester discret
Depuis cette nuit, Bertrand Cantat est libre, quoique assigné à résidence, ce qui n’est pas anormal, car l’homme n’est pas un assassin, et la loi prévoit ce type de libération conditionnelle.
Le plus curieux est que la justice lui impose une « obligation de rester discret ». Rien de tel n’existe dans la loi française, et l’on se demande où les juges vont chercher ce genre de gadget. En outre, on se doute bien que le chanteur, qui se sait guetté au tournant par la famille Trintignant, n’allait pas passer ses nuits au Queen, ni s’exhiber dans les émissions de Patrick Sébastien !