Quand on est con, on est con

Publié le par Yves-André Samère

On entend de plus en plus de « grandes voix autorisées », par exemple Ivan Levaï ou Jean-François Kahn, nous crier dans les oreilles : « Mais ne confondez donc pas les États-Unis avec George Bush ! Les États-Unis sont une grande nation, leur histoire nous fait grimper aux rideaux, et plus chouette que ce pays tu meurs ».

Mille regrets, pas d’accord. Certes, c’est à la faveur d’une tricherie honteuse (en Floride, où son frère était gouverneur), que George Bretzel s’est fait élire la première fois. Or tout le monde le savait ! Malgré cela, rien n’a pas empêché sa seconde élection, avec encore plus de voix que la première fois, et cette fois sans aucune tricherie. Donc les États-uniens l’ont réélu en toute connaissance de cause. Ce doit être ça, la fameuse preuve que c’est un grand pays.

Je regrette, mais quand on RÉÉLIT un con, c’est qu’on est con.

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