Prise... de court ?

Publié le par Yves-André Samère

Depuis que les publicitaires, qui sont tous des génies comme on le sait, ont remplacé les peintres, les écrivains, les sculpteurs, les musiciens et autres emmerdeurs au Panthéon de la créativité, Séguéla merci !, on s’interroge sur ce qui se passe dans leur cervelle – à supposer qu’il s’y passe quelque chose.

Sur les colonnes Morris de Paris est apposée depuis peu une affiche pour la pièce de Shakespeare Troilus et Cressida, assez peu jouée il faut le dire. Or cette affiche représente... une prise électrique !

Quiconque voit le rapport est prié de nous éclairer.

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