Papes rétrogrades

Publié le par Yves-André Samère

Il fait très fort, le pape. Déjà, d’avoir choisi comme pseudo professionnel le prénom de Mussolini, c’était un indice inquiétant – et davantage que d’avoir fait partie des Jeunesses hitlériennes, position qu’il n’avait pas choisi. Même son prédécesseur, qui était un fieffé réac et qui avait fait un saint de Jose-María Escrivá de Balaguer, fondateur de l’Opus Dei, n’avait pas osé.

Aujourd’hui, Benoît XVI annule la décision de Jean-Paul II d’excommunier quatre évêques intégristes, disciples du fameux Lefebvre, dont Richard Nelson Williamson, qui nie comme Faurrisson l’existence des chambres à gaz – et dont le cas relèverait de la Justice en France.

Comme prénom, le pape aurait dû choisir Dieudonné.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :