L’heure de la mort
Dans les romans policiers de détection, l’auteur est souvent obligé de faire bénéficier son enquêteur d’un élément capital : l’heure de la mort de la victime. Dans ce cas, presque à tous les coups, il a recours à un vieux truc, celui de la montre du mort qui a été cassée quand la victime est tombée. Les aiguilles, alors, sont restées bloquées, et le détective n’a plus qu’à lire sur le cadran.
La bonne blague ! J’ai fait tomber ma montre des milliers de fois, jamais elle ne s’est cassée, jamais les aiguilles ne sont restées bloquées sur l’heure de l’incident. Et pourtant, juré ! je n’ai pas de Rolex.