Guerre chez les Tellenne ?

Publié le par Yves-André Samère

Les repas de famille, s’il y en a encore, doivent être un peu tendus, en ce moment, dans la famille Tellenne. Il y a, d’un côté, Frigide Barjot, qui se nomme en fait Virginie Tellenne (nom de jeune fille, Merle), et de l’autre, son beau-frère Karl Zéro (vrai nom, Marc Tellenne). La première, très catholique et naguère tombée amoureuse, quoique en tout bien tout honneur, de Benoît XVI, s’est lancée dans un combat perdu d’avance, celui de l’opposition irréductible au mariage gay ; le second, très catholique aussi mais qui dit avoir lu l’Évangile « contrairement à elle », est plutôt partisan dudit mariage, dans lequel il ne voit rien de gênant. Quant au mari de Frigide, le talentueux Basile de Koch (Bruno Tellenne), ex-créateur du groupe de pasticheurs Jalons, apparemment il ne dit rien, mais, s’il parlait, il lui suggèrerait de se calmer un peu et ressortirait la pancarte qu’il avait utilisée en défilant... seul, réclamant le « mariage pour personne ». Je ne sais pas non plus ce que dirait leur mère, Annick, que j’ai un peu connue et qui était la grand-mère type, très gentille et très fière de sa famille.

Bref, Karl vient d’envoyer à sa belle-sœur une lettre ouverte dans le Huffington Post, et y remet, comme on dit, les pendules à l’heure. J’ai toujours apprécié Karl, que j’ai souvent approché, et qui a la tête sur les épaules. Lisez sa lettre ouverte, elle est pleine de bon sens. Elle.

(NB : Frigide a retiré son mot « Hollande veut du sang, il en aura ! Nous vivons dans une dictature ! »)

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :