Horreur ! On ne meurt pas assez de froid
Nous a-t-on assez bassinés, tarabustés, culpabilisés avec le « réchauffement climatique » et ce ridicule Prix Nobel de la Paix décerné à l’escroc Al Gore et au GIEC (Groupement Intergouvernemental d’Experts sur le Climat) ! Or il semble que l’excitation soit un peu retombée, et il est certain que plusieurs études réalisées en Europe montrent que, du fait de ce réchauffement, il y a désormais moins de morts en hiver, parce qu’il fait moins froid. Douze seulement cette année en France, avouez que c’est mesquin, les clochards devraient se forcer un peu pour ne pas faire mentir les statistiques alarmistes.
En tout cas, même le GIEC a reconnu que le changement climatique pourrait, je cite à la lettre, « s’avérer bénéfique et entraîner une baisse de la mortalité associée au froid ». Quelle horreur ! À ce train, Claude Allègre risque d’être élu président du GIEC.
En fait, il existe peu d’études sur les éventuels changements liés à la modification supposée du climat, et assez peu « sur les causes exactes de la mortalité en hiver » (la bonne blague, on meurt de froid quand il fait froid, il faut être expert pour trouver cette conclusion). Autant dire qu’on ne sait rien. Raison de plus pour en faire des articles de journaux et organiser des débats dans les radios-télés.