Le jazz ? Démodé !

Publié le par Yves-André Samère

Guy Carlier oserait-il (on en doute, connaissant sa lâcheté en présence des gens qu’il a attaqués la veille en leur absence) qualifier de « gourdasse » Isabelle Giordano ? C’était son mot favori, au temps où, dans l’émission de Bern, il attaquait de pauvres filles qui faisaient la potiche à la télé.

Il y aurait eu de quoi, pourtant, en entendant la belle apostropher l’un de ses invités qui, interrogé sur ses goûts musicaux, a eu le malheur de citer le jazz.

– Pas très moderne, ça, dites-moi ! s’est exclamée la brune enfant (oui, pour une fois, je ne tape pas sur une blonde).

Si la belle Isabelle avait le moindre atome de culture, elle saurait, d’une part, que la notion de modernisme n’a aucun sens en matière de musique ; et, d’autre part, que le jazz est un genre – hautement estimable – attaché étroitement à une certaine époque, évidemment révolue, ce qui ne le démode en aucune façon. Ou alors, clamons que Bach, Mozart, Beethoven, Ravel et Chopin sont largués, puis tirons l’échelle et allons passer notre soirée au Palace.

Mais voilà, aujourd’hui, si on ne braille pas qu’on est un fan de rap et de hip-hop, on passe pour un attardé.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
<br /> Pour Stack, c’est fait, il a eu son paquet. Le tour de Koons et de quelques autres ne manquera pas d’arriver.<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> Et n'oubliez pas de montrer votre admiration pour ces artistes visionnaires que sont Jeff Koons et Philippe Starck.<br /> <br /> <br />
Répondre