Le tango d’Obama

Publié le par Yves-André Samère

Difficile de dire si, ce qui domine, c’est le fou-rire ou l’indignation, face au tango que danse Obama dans cette affaire syrienne. L’immense Prix Nobel de la Paix que les États-Unis se sont offerts en guise de président n’a craint ni le paradoxe ni le ridicule, en déclarant que, s’il fallait s’en prendre en Syrie à un régime, il n’entendait pas dégommer un homme, à savoir, Bachar el-Assad.

Ben voyons... Il est tout à fait évident qu’Assad n’a rien à voir avec le régime qu’il préside, et dans lequel il est le seul à décider de tout. C’est un peu comme si on proclamait que le pape n’a rien à voir avec la religion catholique.

(Vous remarquez que je ne dis rien sur Hollande et ses velléités de punir le dictateur syrien. Je ne suis pas du genre à tirer sur un corbillard, en insinuant que, tout ce que not’ présiblique peut envisager, c’est de lui envoyer par la Poste un bonnet d’âne, en le priant bien gentiment de bien vouloir le coiffer, et de filer au coin, derrière le tableau)

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