Maggie rend son âme au diable

Publié le par Yves-André Samère

On espère qu’il ne se trouvera pas un hurluberlu pour regretter Margaret Thatcher. Premier ministre du Royaume-Uni entre 1979 et 1990, Margaret Thatcher incarna l’intransigeance, pour ne pas dire l’obstination. C’est ainsi qu’elle refusa toujours le statut de prisonniers politiques aux membres de l’IRA (Armée républicaine irlandaise) emprisonnés pour divers attentats.

Il y a eu ce film de Steve McQueen (il aurait vraiment dû prendre un pseudonyme), Hunger, qui raconta la « grève de l’hygiène » qu’ils firent pour refuser de porter les uniformes de prisonniers de droit commun. Maltraités et humiliés, pour ne pas dire torturés – on est souvent horrifié –, ils en vinrent à la grève de la faim, et Bobby Sands fut le premier qui en mourut. Il y en eut six autres.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
NB : le Ritz appartient à Mohammed Fayed, qui se dit« Al Fayed » pour faire croire qu’il est noble, qui est aussi le propriétaire du magasin Harrod’s, était le père de l’amant présumé de<br /> Diana, et qui a produit un film dans lequel les Windsor sont qualifiés de « famille de tarés ».
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D
Ah, et la pauvre dame est morte au Ritz où elle séjournait depuis plusieurs mois.
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D
"des soins gratuits pour les pauvres ? Mais ils se paient bien des chaussures, alors pourquoi ne paieraient-ils pas leur médecin ?". Aristocrate anglaise vers les années 1930.<br /> Maggie, qui n'était certes pas une aristocrate, a "sacrifié" une génération. Beau palmarès, dans la lignée de cette pensée profonde entre soins médicaux et chaussures.<br /> Comme m'a dit un jour un ami irlandais "en Irlande, toutes les truies s'appellent Maggie".
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