Pataquès au « Canard »

Publié le par Yves-André Samère

J’ignore si les correcteurs du « Canard enchaîné » sont prématurément partis en vacances, où s’ils sont en grève, mais on trouve dans le dernier numéro (le 4782 du mercredi 20 juin 2012) deux phrases qu’aucun correcteur n’aurait dû laisser passer.

La première se trouve en page 1, colonne 4, sous la signature d’Éric Emptaz, qui est rédacteur en chef. La voici, intégralement : « Et l’on comprend volontiers qu’il ait d’autant plus de raisons d’être inquiet que ces pouvoirs qui l’engagent et l’obligent ». Soit il y a un qui de trop après pouvoirs, soit il manque la fin de la phrase, le sujet ces pouvoirs n’ayant pas de verbe ! Dans les deux cas, la phrase est incompréhensible...

La seconde se trouve en page 2, colonne 1 : « Reste à savoir à qui une certaine Valérie Trierweiler va soutenir ». Reste à savoir à qui le lecteur va comprendre ce charabia.

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