Pire que les soldes

Publié le par Yves-André Samère

Du jamais vu ! Pire que les soldes !

Décidé à mesurer l’ampleur des conséquences induites par le battage médiatique sur la sortie de « Charlie-Hebdo », j’étais dans la rue ce matin dès sept heures et demie. Eh bien, ce fut édifiant. Des cinq kiosques à journaux les plus proches de chez moi, trois étaient ouverts, mais en rupture de stock (avec promesse de réapprovisionnement demain), et deux autres étaient fermés. Devant celui de la rue Saint-Martin, vingt personnes en rang d’oignons attendaient l’ouverture, sans savoir quand elle se produirait.

La kiosquière proche de l’église Saint-Eustache, qui a pris sa retraite au 31 décembre et s’est fait remplacer ensuite, doit regretter son départ : si elle était restée, elle aurait pu, dans un mois, s’acheter une villa sur la Côte d’Azur.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

Y
C’est bien ce que j’ai dit dans un autre article écrit ensuite : vingt exemplaires. Vous faites donc comme à Paris !
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D
Arrivée chez mon marchand de journaux à 6 heures 45 : tout vendu. Les clients lui en avaient commandé 200, il en a reçu... 20 !
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