Prévoir le temps... un mois à l’avance !
Prévoir longtemps à l’avance le temps qu’il fera, comme voudrait le faire croire le GIEC et ses partisans ? Voyez plutôt David Pujadas : le 9 novembre dernier, dans le journal de 20 heures de France 2, il annonce que, conformément aux prévisions de Météo France et aux théories sur le réchauffement climatique, la période des fêtes de fin d’année bénéficiera d’un climat « indien ».
On a vu ce qu’on a vu : à cette période, nous avons « bénéficié » d’un bon mois glacial. Pujadas avait dû confondre avec les Indiens du Nord Dakota. Cet exploit pujadesque, qui n’était pas le premier, rappelait les prévisions d’Albert Simon, jadis, sur Europe 1. De sa voix cassée, Simon, né en 1920, officia sur cette radio durant les années 1970, et ce jusqu’en 1986, où il tomba malade et quitta ses fonctions. Il utilisait les services de Météo-France comme tout le monde, mais prétendait faire ses prévisions lui-même, on ne sait comment, et pouvoir annoncer le temps qu’il ferait... un mois à l’avance ! Or, à son époque, le mieux qu’on pouvait faire, c’était des prévisions à deux jours. Aujourd’hui, c’est quatre jours avec un certain taux de certitude, six jours avec beaucoup d’erreurs. Au-delà, aucune possibilité.