Sachons renseigner les touristes
Comment peut-on avoir le culot de s’en aller faire du tourisme dans un pays étranger sans même se donner la peine, sinon d’apprendre la langue, au moins de se renseigner sur les rudiments de la prononciation locale ? Ce matin, une touriste au fort accent british a tenté de m’arracher un renseignement sur une destination qu’elle a été incapable de préciser intelligiblement. Elle en a été pour ses frais (comble de la bêtise, cette gourde avait un plan de Paris, que donc elle ne savait pas lire !).
Chez moi, c’est réglé comme du papier à musique : si un Yankee m’arrête sur la place Saint-Michel pour me demander où sont les tchimpe-zeu-laille-ziz, je l’envoie à Montrouge ou à Roissy.