Une ânerie de Pierre Bourdieu
Les adorateurs de Pierre Bourdieu, dont je ne suis pas car je n’ai aucune confiance en ce qu’on appelle « les sciences humaines », savent-ils que leur idole pouvait, parfois, proférer des imbécillités ?
Ainsi, le maître voyait-il dans l’enseignement du latin « un gaspillage ostentatoire », et une formation rétrograde que l’on réservait aux seuls fils de riches ! Bref, un truc élitiste et passéiste. Un peu comme la musique de Bach, incapable d’égaler David Guetta. Pour ne rien arranger, le latin est « d’église », or l’Église sent le soufre, on le sait.
Entre 1789 et 1793, Bourdieu aurait coupé quelques têtes.