Une grande cause nationale ?

Publié le par Yves-André Samère

Franchement, j’en ai par-dessus la tête qu’on nous intime l’ordre, vingt fois par jour, d’être « tous derrière » l’équipe de France de football ! On cherche à me faire écrire des insinuations grivoises, voire des insanités ? À voir ce qui arrive à d’autres pour des questions de vocabulaire, ce n’est pas le moment.

Une « grande cause nationale », cette compétition de football ? J’espère seulement que la Nation n’a pas remis son honneur entre les mains, ou plutôt les panards, de ce ramassis de parasites surpayés, ayant abandonné leur cerveau à la consigne (à supposer qu’ils en aient eu un à la naissance), dont le Q.I. est de toute façon inférieur à la pointure de leurs chaussures, et dont les activités principales, entre deux tournois de Playstation, consistent à sauter des filles de joie, de préférence mineures, dans des chambres d’hôtel qu’ils ne seraient seulement pas fichus de nettoyer convenablement, au cas où ils devraient enfin gagner leur vie de façon honnête.

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :

D
<br /> Épargnez-vous cette peine, je vous en prie ! J'aurais pu servir aussi le "panem et circenses"... plus ancien mais tout aussi juste. Et là, ce n'est pas, a priori, de Marx.<br /> <br /> <br />
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Y
<br /> Hélas, il semble que Karl Marx n’ait jamais dit ça, ou qu’il ait voulu dire autre chose que ce qu’on a compris. Je relis ses œuvres complètes en vitesse, et je vous donne la réponse demain au plus<br /> tard.<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Dans des temps fort reculés, on disait que la "religion est l'opium du peuple". On a trouvé maintenant encore plus simple, comme opium...<br /> <br /> <br />
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