C’est qui qu’a balai, yé ?

Publié le par Yves-André Samère

La mort d’une grande chanteuse, mondialement connue, méritait qu’on en laisse l’annonce à une gourde. Je ne vais donc pas écrire le nom de cette pseudo-journaliste, qui, à neuf heures ce matin, et par trois fois, a rebaptisé Montserrat Caballé, sans même se donner la peine de se renseigner sur la prononciation de ce patronyme. Aussi, en parfaite plouc (on devrait féminiser aussi ce nom-là !), elle la nommée « qu’a balai ». C’est ainsi à la radio, on rivalise d’ignorance. La demoiselle doit être une fanatique du ménage.

Oublions ces imbécillités, et passons à l’écoute de cette sublime chanson de Puccini, O mio babbino caro. Il faut savoir se décrasser les oreilles, de temps en temps.

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