La banque et l’intérêt de ses clients
Autrefois, lorsqu’on achetait des actions en Bourse, on recevait de son courtier, très concrètement, des « titres » sur papier, joliment imprimés, qu’on mettait dans son coffre-fort. Mais c’était risqué : les titres pouvaient brûler, être perdus, volés,...