Fuyons Xavier Dolan !

Publié le par Yves-André Samère

Pendant des semaines, on nous a matraqués avec une campagne pour le dernier navet de Xavier Dolan, Juste la fin du monde, qui sort aujourd’hui, et que je ne verrai certainement pas. Avec le narcissime en plus, Dolan, c’est le Kéchiche québécois : on lui a dit qu’il était un génie, et il l’a cru.

Dès son premier film, J’ai tué ma mère, j’avais décelé l’imposture : le « génie » avait plagié à 80 % le premier film de François Truffaut, Les quatre cents coups, jusqu’à réutiliser la scène où le garçon prétend que sa mère est morte, alors qu’elle vit toujours. Moi, les plagiaires, je ne les supporte pas, mais je suis moins bien élevé que les critiques de cinéma, qui ne dénoncent JAMAIS ce type de malversations. Alors, je cite les cas, avec les références.

Le film de Dolan se fait descendre aujourd’hui par « Le Canard enchaîné », qui remarque deux détails qu’ailleurs on laisse pudiquement de côté : que ce mauvais réalisateur bâtit tous ses films sur une hystérie constante de ses personnages, et qu’il est en panne d’inspiration, si bien que, désormais, il adapte des pièces de théâtre – comme François Ozon.

Vraiment, voyez plutôt les bons films, ça ne manque pas !

Écrire ci-dessous une ânerie quelconque :