Gazon pas maudit
Hier, je vous ai informés que Paris Plage serait supprimé, parce que le cimentier Lafarge, qui en fournissait le sable, a un peu trop flirté avec l’État islamique et le Taré de Manhattan. Donc il est puni.
En tout cas, la chose semble avérée, car, aujourd’hui, traversant la Seine, j’ai pu voir que, là où naguère on étalait du sable, on a désormais une longue pelouse de gazon bien vert, dont je ne jurerais pas qu’il est aussi naturel que les belles résolutions d’Annie d’Algaud (une cousine d’Albert Algoud ? Une sœur de Marie d’Agoult ?), la marquise qui joue au maire de Paris. Il faudra que j’aille vérifier ça sur place. La chaussée, elle, fait à présent le bonheur des cyclistes.
(Je ne crois pas que le gazon vienne de chez Lafarge. Ou alors, c’est une reconversion majeure)