À Washington, un locataire bientôt expulsé ?

Si vous avez vu sur TMC, comme je l’ai fait en différé, l’émission composée à partir des reportages de Martin Weill aux États-Unis, et intitulé TRUMP, saison 1, vous avez eu la confirmation que la président (mal) élu est à la fois un fou et un incapable. En cinq mois, ignorant tout des affaires de l’État dont il croit avoir fait sa propriété, il a passé davantage de temps à jouer au golf, à gribouiller des tweets, à démolir pierre par pierre l’édifice législatif qu’avait construit son prédécesseur Obama, et à dire que la presse ne publiait que des fake news (des fausses nouvelles), qu’à tenter de comprendre comment fonctionne un président des États-Unis et son administration. On commence à croire – et à espérer – qu’il ne finira pas son mandat, ce que laisse présager la démission annoncée d’un des cinq juges de la Cour suprême qu’il avait nommé, faisant ainsi prévoir que la majorité de cette Cour va basculer ; or c’est elle qui décide de tout, et qui seule peut l'expulser de la Maison-Blanche.

À présent, le Taré de Manhattan est largement impopulaire, notamment à Hollywood, et ne conserve plus de partisans que chez les naïfs qui le croyaient capable de leur conserver du travail et d’empêcher les sales étrangers (tous musulmans, même les Mexicains) d’envahir le Pays de la Liberté. Sic. Au fait, à ce jour, le fameux mur qu’il voulait construire pour les arrêter, et dont il disait que le Mexique paierait la facture, s’élève à une hauteur de... zéro centimètre ! Trop cher.