Hôpital en folie
Il serait bon que quelque spécialiste songe à soigner... le secrétariat de l’hôpital Cochin, à Paris. Ainsi, un médecin en hématologie (c’est une femme) qui me suit depuis environ un an a écrit TROIS compte-rendus des examens successifs qu’elle m’avait prescrits, et les a envoyés à mon médecin traitant. Ces trois missives ont été rédigées entre septembre et décembre 2016. Or mon médecin traitant les a reçus en janvier et au début de ce mois !
Ce matin, j’ai aussi reçu par la poste une lettre du service de radiologie, contenant une convocation pour une IRM hépatique, à faire... le 18 septembre. Cette fois, c’est donc l’inverse, on m’écrit deux mois à l’avance, et l’enveloppe contenant cette convocation portait la mention URGENT tamponnée en rouge sur les deux faces. Je suggère de mettre ces deux services en relation, afin que l’avance de l’un puisse compenser le retard de l’autre.
Enfin, toujours ce matin, on m’a téléphoné en mon absence. J’ai rappelé le numéro à mon retour, et suis tombé sur l’hôpital Cochin (vous vous y attendiez, non ?), où un monsieur très aimable n’a pas su me dire pour quelle raison on m’avait appelé. J’ouvre les paris, si vous avez une explication à me suggérer.
Maison de fous...